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LE BON GRAIN ET L'IVRAIE
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« Bouc émissaire » : petite étude concernant une hérésie répandue chez tous les chrétiens





Ceux qui auront lu entièrement de cette petite étude ne pourront plus rester ancrés dans l’hérésie qui enseigne faussement que la mort ignominieuse de notre Seigneur Jésus cloué sur une croix de bois nous sauverait en vue de la vie éternelle.











Début de l’article

Table des matières

A propos de l’évangile du premier dimanche de mars 2024, l’ancien archiépiscope de Paris enseigne pendant une homélie que le seul sacrifice qui plaît à Dieu c’est le sacrifice d’action de grâce, celui que Jésus offre à son Père sur la croix en notre nom (écouter cette vidéo [1] à partir de 6 minutes 30 secondes).

Mais s’il vous plaît quel humain « normal » peut-il croire qu’un Fils offre d’être torturé à mort pour plaire à son Père ?

S’il vous plaît comment faire envie à quiconque de se convertir dans l’église catholique en enseignant une telle atrocité !

Car si la mort par clouage sur une croix de bois eut été une bonne chose comme certains osent le prétendre, il n’y aurait aucun besoin que notre Seigneur eut prié son Père afin qu’il démette cette torture à ses bourreaux (saint Luc 23, 34).

Prenons en compte à sa juste valeur que, de fait, l’ange de Dieu arrête le bras d’Abraham voulant immoler son fils Isaac et le remplace par un agneau… Il est logique de croire que ce passage est voulu par Dieu dans le but de défaire très progressivement l’usage qu’ont les peuples antiques des sacrifices humains par mise à mort. Dieu a donc institué avec le sacerdoce aaronique une liturgie temporaire où des animaux sont immolés (selon l’ancien testament au Livre du Lévitique), ce qui, ajouté au signe d’Abraham avec son fils ci-dessus, est encore un signe que le Seigneur s’emploie à faire renoncer progressivement l’humanité aux sacrifices humains par mise à mort…

Le Livre du Lévitique condamne à mort par lapidation celui qui donne de ses enfants à Moloch, et contamine le sanctuaire de Dieu et pollue son saint nom (Lévitique 20, 2-5)… on peut croire qu’il s’agit ici de sacrifices que les gens croient faire au Seigneur dans son sanctuaire, alors qu’en réalité ce sont des sacrifices offerts à un Dieu idolâtré, c’est-à-dire déformé dans sa conceptualisation, connu dans ce cas sous le nom de Moloch… On peut actualiser ce phénomène à aujourd’hui, où de nombreux catholiques pensent que le Dieu de l’islam « Allah » est le même Dieu que le Dieu des chrétiens, mais sous un autre nom… De fait le Dieu nommé Allah est considéré comme l’unique et origine de toute la création à l’instar du Dieu-Père des chrétiens. De nombreux catholiques considèrent donc qu’Allah et le Père sont un seul et même Dieu… alors que l’islam coranique répond entièrement à la définition que donne saint Jean l’évangéliste de l’anti-christ, en niant que le Dieu-Père des chrétiens est Père, donc niant le Père en tant que Père et le Fils en tant que Fils… : « Hic est antichristus, qui negat Patrem et Filium. » (1 Jean 2, 22). Alors prendre le Seigneur pour Moloch, ou prendre le Dieu Père pour Allah dont le coran montre qu’il est l’anti-christ… où est la différence s’il vous plaît !

Ajoutons que la prophétie de la Vierge Marie à la Salette présente obscurément l’antéchrist, comme naissant d’une religieuse hébraïque ; or une femme au moins du prophète Mahomet est juive, et il est raconté qu’elle serait issue de la lignée de Lévi et de plus qu’elle est considérée comme une des mères des fidèles. Que cette juive, mère de l’islam avec son mari le prophète Mahomet, soit issue de la tribu le Lévi (celle des consacrés au Seigneur) lui fait justifier le qualificatif de religieuse dans le message de la Salette : alors selon ces deux sources, le nouveau testament en (1 Jean 2, 22), ainsi que cette prophétie de la Vierge Marie à la Salette, l’islam répond aux critères de l’anti-christ.

Alors ces fils d’Israël en (Lévitique 20, 2-5), sans aucun doute comme de nombreux catholiques aujourd’hui, sont poussés par des esprits mauvais à offrir à un Dieu idolâtré en croyant offrir au vrai Dieu… Bref, le Seigneur refuse que soient faits ces sacrifices humains par mise à mort. Ne doit-on pas croire alors que ceux qui offrent au Père en sacrifice le clouage à mort de notre Seigneur Jésus sur une croix de bois offrent en réalité ce sacrifice, non au Dieu-Père mais à une fausse représentation idolâtrée de Dieu-Père ? Ce fait d’offrir en sacrifice le clouage à mort de notre Seigneur Jésus sur une croix de bois, est simplement la continuité de ce que montre la sainte bible, quand elle fournit la preuve scripturaire du fait qu’il était encore dans les mœurs du temps des Juges d’Israël, et encore du temps du grand prophète Jérémie, de désobéir au Seigneur en brûlant des enfants humains en sacrifices, malgré les anciennes prescriptions de Moïse au Livre du Lévitique !

Cette preuve scripturaire se trouve dans un passage biblique du grand prophète Jérémie, elle assure qu’il s’agit de sacrifices par mise à mort à Topheth dans la vallée de Benennom: « […] le Seigneur dit ; ils ont posé leurs abominations dans la maison, sur laquelle est invoqué mon nom, afin qu’ils polluassent ; et ils ont édifié des haut-lieux à Topheth, laquelle est dans la vallée de Benennom, afin qu’ils incendiassent leurs fils et leurs filles au feu : lesquelles choses je n’ai pas prescrit ni cogité dans mon cœur. [2]» (Jérémie 7, 30-31).

Selon le second Livre des Rois, au même lieu de Topheth dans la vallée de Benennom que cite ci-dessus saint Jérémie, il s’agit de sacrifices par mise à mort, en consacrant des enfants par le feu à Moloch : « Il a contaminé aussi Topheth, qui est dans la vallée encaissée de Benennom, pour que ne pas que l’humain consacrât son fille ou fille par le feu à Moloch. » (2 Rois 23, 10[3]). C’est la plus grande précision de (Jérémie 7, 30-31) ci-dessus, qui permet d’interpréter ici en (2 Rois 23, 10), que ces abominables consécrations d’enfants par le feu, opérées au même lieu de Topheth dans la vallée de Benennom, sont effectués en incendiant les corps de ces enfants.

Toujours dans la bible “typique” catholique, il est en plus raconté en (Juges 11, 29-40) qu’un père a à tort offert à Dieu sa fille en tant qu’holocauste…, l’holocauste étant le sacrifice dans lequel la victime est totalement consumée par le feu comme l’enseigne en plusieurs endroits le saint Livre du Lévitique. Cet homme appelé Jephte, a fait vœu d’offrir en holocauste le premier qui sortirai de sa maison s’il remportait une victoire militaire contre les fils d’Ammon (Juges 11, 30-31). Or ce fut sa propre fille qui sorti de sa maison et fut donc l’holocauste. On déduit du Livre du Lévitique que le corps de sa fille fut entièrement brûlé parce que c’est elle l’holocauste, et aussi que c’est bien l’holocauste qui est dévoré par le feu (selon Lévitique 11, 24). En fait le vœu de cet homme était d’offrir en tant qu’holocauste le premier qui sortirai de sa maison (Juges 11, 31), et c’est bien le premier sorti qui est sacrifié par holocauste du fait que le texte précise « …, lui holocauste j’offrirai au Seigneur”. » (Juges 11, 31 : traduit de la nova vulgata “typique” catholique : « …, eum holocaustum offeram Domino”. »), texte qui signifie grammaticalement que « lui » est l’« holocauste », car autant « lui » que « holocauste » sont tous deux à l’accusatif, cas grammatical qui exprime en latin un complément d’objet direct et aussi l’attribut d’un complément d’objet direct selon l’encyclopédie wikipédia en français[4]. Mais… si certes cet homme a sur lui l’esprit du Seigneur : « A été fait donc sur Jephte l’esprit du Seigneur,… » (Juges 11,  29 : « Factus est ergo super Iephte spiritus Domini,… »), on peut croire que le Seigneur l’a laissé vouloir faire le vœu d’offrir un holocauste en cas de victoire sur ses ennemis, mais certainement pas d’offrir un humain en tant qu’holocauste parce que ce qui doit être offert en holocauste en cas de vœu est scrupuleusement précisé au (Livre du Lévitique 22, 18-20) : en aucun cas un humain, mais exclusivement un bovidé ou un ovin ou un caprin, et seulement un mâle et non une femelle. Donc l’homme a enfreint les prescriptions du Livre du Lévitique en voulant offrir un humain en tant qu’holocauste en cas de vœu… et encore enfreint les prescriptions du Livre du Lévitique en offrant une femelle, sa fille, au lieu d’un mâle bovidé ou ovin ou caprin. Ajoutons que la « bible officielle liturgique » validée en 2013 par les évêques francophones se permet d’ajouter au texte divin de (Juges 11,  31) que la personne humaine-holocauste « appartiendra au Seigneur », et ajoute encore le terme « sacrifice » pour modifier le texte biblique “typique” par « … appartiendra au Seigneur, et je l’offrirai en sacrifice d’holocauste. », ce que nous traduisons ici plus haut à partir de la nova vulgata “typique” catholique par « …, lui holocauste j’offrirai au Seigneur”. »… La visée de cette modification du texte biblique “typique” catholique par la « bible officielle liturgique » validée en 2013 par les évêques francophones ,est peut-être la volonté d’édulcorer la tragique destinée de la jeune fille brûlée en holocauste, en transformant sa destinée biblique en une simple consécration au Seigneur, comme le sont nos actuelles religieuse catholiques…

Donc Dieu empêche Abraham de sacrifier à mort son fils Isaac, et après le don de la loi de Moïse, à chaque fois qu’un humain est sacrifié à mort dans l’ancien testament, cela enfreint cette loi : donc le Seigneur Dieu ne veut pas de sacrifices humains par mise à mort…

Alors pourquoi s’évertuer encore à justifier cette horreur, ce qui est le cas encore à notre époque de nombreux catholiques ! Soutenir cette horrible conception qui veut que Dieu-Père en enfreignant sa propre Loi se plaise de la mise à mort de son Fils Jésus-Christ sur une croix de bois au Golgotha…

Quant au sacrifice et au Sang de l’Agneau de Dieu…

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L’analogie de Jésus avec un agneau n’est pas complète au point de mettre à mort notre Seigneur Jésus comme un agneau. En effet l’apôtre saint Pierre, dans son enseignement du nouveau testament, n’écrit pas Agneau mais « quasi Agneau »… : « mais à cause du précieux sang du quasi Agneau incontaminé et immaculé du Christ,… [5]» (1 Pierre 1, 19). Donc premièrement notre Seigneur Jésus est quasiment Agneau, donc n’est Agneau qu’analogiquement… et secondement si tous ceux de la grande tribulation blanchissent leurs vêtements dans le sang de l’Agneau selon (Apocalypse de saint Jean 7, 14), c’est que le sang de l’Agneau n’est pas le sang résultant de la mise à mort ignominieuse de notre Seigneur Jésus par clouage sur une croix de bois.

Quant au Corps et au Sang du Christ…

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C’est sa Chair en tant que pain descendant du ciel que notre Seigneur Jésus nous donne à manger dans la sainte Eucharistie ; la chair et le sang charnels de Jésus-Christ cloués sur le bois ne sont pas descendus du ciel puisqu’ils sont un engendrement corporel terrestre issu du corps charnel de la Vierge Marie. C’est notre Seigneur Jésus qui enseigne de sa chair qu’elle doit être mangée en tant qu’elle est le pain qui descend du ciel : « Hic est panis, qui de caelo descendit » (Jean 6, 51-58 de la nova vulgata “typique” catholique). Le latin « descendit » est à la fois au temps grammatical du présent et du parfait, les deux significations vraies sont donc tout autant au passé « « Celui-ci est le pain, qui du ciel est descendu » qu’au présent : « Celui-ci est le pain, qui du ciel descend ».

Alors la chair qui doit être mangée n’est pas sa chair charnelle issue d’une mise à mort ignominieuse et provenant d’un engendrement corporel terrestre issu du corps charnel de la Vierge Marie, mais sa chair spirituelle qui descend du ciel, logiquement à l’instant où le pain et le vin deviennent consacrés par le sacerdoce ministériel en la Chair et le Sang de Jésus-Christ.
Il existe bien d’une part un corps charnel de notre Seigneur Jésus, et d’autre part son Corps spirituel ; de fait saint Paul distingue en général un corps charnel d’un corps spirituel, ainsi que de l’âme selon (1 Corinthiens 15, 44  et 1 Thessaloniciens 5, 23 et Hébreux 4, 12) : c’est donc bien le Corps spirituel de Jésus-Christ que nous manduquons et évidemment pas son corps charnel qui nous serait visible… nous ne manduquons pas le corps charnel de notre Seigneur Jésus cloué sur une croix de bois…

Manger une nourriture spirituelle n’est pas manger une nourriture charnelle : l’exemple de manger une nourriture spirituelle et de boire une boisson spirituelle venant de celui en qui ils ont été baptisés est donné explicitement dans l’ancien testament : « et tous en Moïse ont été baptisés dans la nuée et dans la mer et tous la même nourriture spirituelle ils ont manduqué et tous la même boisson spirituelle ils ont bu ; mais ils buvaient du spirituel, suivant avec ceux-ci, par le rocher ; mais le rocher était le Christ. [6]» (1 Corinthiens 10, 2-4). Rappelons à ceux qui le savent bien que Moïse a été fait dieu de pharaon… : « Et le Seigneur a dit à Moïse : “Voici je t’ai constitué dieu de pharaon, et Aaron ton frère sera ton prophète. [7]» (Exode 7, 1). Ces anciens israélites sont baptisés en Dieu, puisqu’ils sont baptisés en Moïse et que Moïse a été constitué Dieu par le Seigneur… et ils ont tous manduqué la même nourriture spirituelle (saint Paul veut-il dire par la manne tombée du ciel selon Exode au chapitre 16 ?), et ont tous bu la même boisson spirituelle par l’eau du rocher qui est le Christ selon saint Paul ci-dessus : alors pourquoi nier qu’à la sainte cène les 11 apôtres présents avec notre Seigneur Jésus ont par le pain consacré manduqué non seulement une même nourriture « charnelle » mais aussi une même nourriture spirituelle, et par le vin consacré bu une même boisson spirituelle ! L’apôtre saint Pierre s’adresse aux élus, aux élus car le texte biblique “typique” catholique écrit « electis » en (1 Pierre 1, 1), en leur écrivant : « et vous-mêmes soyez édifiés de même que les pierres vivantes de la maison spirituelle dans le sacerdoce saint à offrir les hosties spirituelles acceptables à Dieu par Jésus-Christ. [8]» (1 Pierre 2, 5). Ce qui est à offrir dans le sacerdoce saint sont des hosties spirituelles acceptables à Dieu… Jésus-Christ demande de manger sa chair spirituelle, c’est-à-dire appartenant à son corps spirituel, celui qui est descendu du ciel et il ajoute ensuite que la chair n’est pas en vue de quelque chose… : « L’Esprit est qui vivifie, la chair n’est pas pour quelque chose ; [9]» (saint Jean 6, 63). Après avoir dit que sa chair est vraiment une nourriture (au verset 55), notre Seigneur Jésus enseigne dans ce verset précédant (au verset 63), que la chair n’est pas pour quelque chose, alors sa chair suppliciée sur une croix de bois n’est pas pour quelque chose… donc sa chair suppliciée sur une croix de bois n’est pas ce qui nous sauve…

Sacrifice aux démons…

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Surtout, selon la loi israélite en (Lévitique 17, 1-9), il ne faut pas offrir les sacrifices aux démons, les victimes des sacrifices doivent être amenées à la porte de la tente de réunion, c’est-à-dire au temple (Lévitique 17, 9 extrait de la nova vulgata “typique” catholique : « ad ostium tabernaculi conventus »), or notre Seigneur Jésus a été exécuté à mort en dehors du temple israélite de Jérusalem et sans y être amené, son exécution à mort sur une croix de bois n’a donc pas été opérée en vue d’un sacrifice selon la loi divine elle-même, donc l’exécution à mort de notre Seigneur Jésus sur une croix de bois n’est pas un sacrifice selon la loi Divine.

De plus les fautifs de la mort du corps charnel de notre Seigneur Jésus sont :
        ― Satan avec Judas puisque Satan est entré en Judas le soir du jeudi saint (saint Jean 13, 27) avant l’arrestation de notre Seigneur Jésus, vu que Judas attendait une occasion favorable pour livrer notre Seigneur Jésus aux chefs des sacerdoces selon (saint Mattieu 26, 14-16).
        ― Les chefs des sacerdoces et les anciens du peuple qui ont envoyé arrêter notre Seigneur Jésus-Christ par l’apôtre Judas accompagnés d’hommes armés d’épées et de bâtons… (saint Mathieu 26, 47).
        ― Ponce Pilate, qui sur accusation par jalousie (saint Mathieu 27, 18) des chefs des sacerdoces et des anciens du peuple (saint Mathieu 27, 12),a condamné iniquement notre Seigneur Jésus au supplice du fouet en vue d’une mort ignominieuse par clouage à mort sur une croix de bois  (saint Mathieu 27, 26).
        ― Ceux qui ont flagellés cruellement notre Seigneur Jésus (saint Mathieu 27, 26).
        ― Les militaires du président (saint Mathieu 27, 27 : « milites praesidis »), obéissant à Ponce Pilate, qui ont duit notre Seigneur Jésus au Golgotha, puis ont actionné leurs marteaux pour enfoncer dans son corps charnel les clous qui lui ont tout d’abord fracassés les os, puis l’ont pendu de manière atrocement douloureuse par ces clous dans le but que la mort charnelle s’en suive par étouffement très lent.

Alors toi qui vénères la croix en tant qu’un mat de bois de torture que tu prends à tort comme instrument du salut… toi qui vénères son corps charnel mort troué de clous en tant que sacrifice qui nous sauve… tu offres donc ce « sacrifice » à Satan son coresponsable, et tu ne l’offres certainement pas à Dieu le Père de notre Seigneur Jésus… tu fais donc comme d’anciens fils d’Israël qui consacraient à Moloch en croyant consacrer au Seigneur (lire plus haut notre commentaire à propos de (Lévitique 20, 2-5)) ! Si tu crois que ce supplice atroce a été voulu dans le but de sauver sauver en vue de la vie éternelle un humain, tu es du parti, encore actuel aujourd’hui, de ceux qui ont condamné puis torturé à mort notre Seigneur Jésus en désobéissant à la loi divine qui interdit d’occire (lire un peu plus loin…)… Si tu crois que ce supplice atroce peut sauver un humain tu te fais toi-même complice tardif de ce crime… Si tu crois que cette ignoble et abjecte torture à mort peut sauver en vue de leurs vies éternelles l’ensemble des humains, tu es de ceux qui croient adorer le Seigneur Dieu, mais en réalité adorent Satan en prenant pour salut en vue de la « vie éternelle » la prophétie satanique de Caïphe, pontife israélite de cette année (saint Jean 11, 49 : « Caiphas, cum esset pontifex anni illius,… »), qui a dit, pour sauver temporellement le peuple israélite du joug des romains, qu’il vaut mieux qu’un seul humain meurt pour le peuple « et que toute la gens ne périsse pas ! » (« non tota gens pereat ! ») à cause des romains (saint Jean 11, 48-53)… car oui : de même que Satan est entré en Judas le soir du jeudi saint selon (saint Jean 13, 27), sans aucun doute Satan a pu de même entrer en Caïphe afin de lui faire prophétiser cette parole ci-dessus dont l’évangile dit qu’elle ne venait pas de lui-même (saint Jean 11, 51).

Sacrifice aux démons - hors de la raison
Sacrifice aux démons

Clouer à mort notre Seigneur sur une croix de bois
est désobéir à la loi Divine qui interdit d’occire :

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La mise à mort de notre Seigneur Jésus par clouage sur une croix de bois apparaît dans le nouveau testament comme un interdit Divin parce qu’il est interdit par la loi d’occire, et que le verbe « occire » est le terme qu’emploie notre Seigneur Jésus-Christ dans les évangiles en évoquant sa propre mort en (Mathieu 16, 21 ; et aussi 17, 23 ; et 23, 34-37 à propos d’occire les envoyés du Christ ; et saint Marc 8, 31). Voici par exemple (saint Mathieu 16, 21) : « De là a commencé Jésus à faire ostentation à ses disciples qu’il lui fallût aller à Jérusalem et de nombreuses choses pâtir venant des seniors et par les chefs des sacerdoces et par les scribes et être occis et le troisième jour resurgir. [10]», en employant ici « être occis » à propos de l’exécution à mort de notre Seigneur Jésus-Christ, la sainte bible nova vulgata “typique” catholique signifie qu’être occis par clouage sur une croix de bois est interdit par la Loi de Dieu, parce que « occis » est un participe passé du verbe dont l’infinitif est « occire », qui est le même verbe employé dans les 10 commandements Divins qui interdisent d’occire : « Tu n’occiras pas. » (Exode 20, 13 « Non occides. »)…

Cette Loi, notre Seigneur Jésus la rappelle Lui-même dans l’évangile de saint Mathieu : « “Tu n’occiras pas ; mais qui aura occis, sera accusé par une action judiciaire” » (saint Mathieu 5, 21 : « “Non occides; qui autem occiderit, reus erit iudicio” »), ou encore la rappelle dans ce verset de saint Marc: « Tu as appris à connaitre les préceptes : que tu n’occises pas,… » (saint Marc 10, 19 : « Praecepta nosti : ne occidas,… »). Avoir occis Notre Seigneur Jésus sur une croix de bois au Golgotha est donc explicitement dans le nouveau testament un acte répréhensible car occire est explicitement interdit par les « 10 commandements ».

Ajoutons aux arguments précédents, que si la mort ignominieuse par clouage sur une croix de bois de notre Seigneur Jésus eut été une chose bonne comme certains, dont nous croyons ici qu’ils sont totalement dénué d’amour…, voire qu’ils ont l’« esprit dérangé » où le mental malade, osent le prétendre, il n’y aurait aucun besoin que notre Seigneur eut prié son Père afin qu’il démette à ses bourreaux comme on le fait d’un péché (saint Luc 23, 34 ; « Pater, dimitte illis,… » ; et saint Luc 17, 4 : « “Paenitet me”, dimittes illi”. »), cette torture à mort interdite par les « 10 commandements ».

Hors de la raison

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Nous abordons cette ignominieuse torture à mort par clouage sur une croix de bois de notre Seigneur Jésus par stupéfaction horrifiée de ce qu’en pense certains, par exemple après avoir lu sur le site de la Fsspx l’horrible fornication intellectuelle suivante : « La Croix qui était un instrument de supplice et de malédiction est devenue l’instrument de notre salut, de notre rachat – la Rédemption. [11]»… Ce texte hors de la raison prend une croix de bois instrument de supplice et de malédiction pour l’instrument de notre salut, de notre rachat, c’est-à-dire de la rédemption ! La Fraternité Sacerdotale Saint Pie X (Fsspx) expose donc ce texte atterrant pour la raison qu’il considère que notre salut est l’œuvre d’un instrument de supplice, bien que saint Pierre lui-même demande qu’à la manière d’enfants encore incapable de parler, il faut vouloir le « lait rationnel sans dol » afin de croître dans le salut… : « comme pour mesure les enfants (Ndlt : dans le sens où ils ne parlent pas encore) engendrés, concupiscez le lait rationnel sans dol, afin qu’en celui-ci vous croissiez dans le salut,… [12]» (1 Pierre 2, 2).





Par Arnaud Barbey le 15 mars 2024










saint sacrifice de la messe – chemin de croix – carême – pâques – pénitence – sacrifice de la croixrédemption sacrifice d’expiation






[1] SOURCE youtube : Homélie du Dimanche 3 Mars de l’ancien archiépiscope de Paris

[2] Traduit de la nova vulgata “typique” catholique en (Jérémie 7, 30-31) : « […] dicit Dominus; posuerunt abominationes suas in domo, super quam invocatum est nomen meum, ut polluerent eam; 31 et aedificaverunt excelsa Topheth, quae est in valle Benennom, ut incenderent filios suos et filias suas igni: quae non praecepi nec cogitavi in corde meo. », SOURCE : SITE INTERNET DU VATICAN.

[3] « Il a contaminé aussi Topheth, qui est dans la vallée encaissée de Benennom, afin que ne pas l’humain consacrât son fille ou fille par le feu à Moloch. » (2 Rois 23, 10) traduit de la vova vulgata “typique” catholique : « Contaminavit quoque Topheth, quod est in convalle Benennom, ut nemo consecraret filium suum aut filiam per ignem Moloch. », SOURCE : SITE INTERNET DU VATICAN.
Note de traduction : le latin « nemo » étant une contraction de « ne homo », nous le traduisons ici par « ne pas l’humain ».

[4] SOURCE : fr.wikipedia.org/wiki/Accusatif

[5] Traduit de la nova vulgata “typique” catholique en (1 Pierre 1, 19) : « pretioso sanguine quasi Agni incontaminatised pretioso sanguine quasi Agni incontaminati et immaculati Christi,… » SOURCE : SITE INTERNET DU VATICAN.

[6] Traduit de la nova vulgata “typique” catholique en (1 Corinthiens 10, 2-4) : « 2 et omnes in Moyse baptizati sunt in nube et in mari 3 et omnes eandem escam spiritalem manducaverunt 4 et omnes eundem potum spiritalem biberunt; bibebant autem de spiritali, consequente eos, petra; petra autem erat Christus. » SOURCE : SITE INTERNET DU VATICAN.

[7] Traduit de la vulgata canonique catholique en (Exode 7, 1) : « Dixitque Dominus ad Moysen: “Ecce constitui te deum pharaonis, et Aaron frater tuus erit propheta tuus. », SOURCE : SITE INTERNET DU VATICAN.

[8] Traduit de la nova vulgata “typique” catholique en (1 Pierre 2, 5) : « et ipsi tamquam lapides vivi aedificamini domus spiritalis in sacerdotium sanctum offerre spiritales hostias acceptabiles Deo per Iesum Christum. », SOURCE : SITE INTERNET DU VATICAN.

[9] Traduit de la nova vulgata “typique” catholique en (Jean 6, 55 et 63) : « 55 Caro enim mea verus est cibus […] 63 Spiritus est, qui vivificat, caro non prodest quidquam ; verba, quae ego locutus sum vobis, Spiritus sunt et vita sunt. », SOURCE : SITE INTERNET DU VATICAN.

[10] Traduit de la nova vulgata “typique” catholique en (Mathieu 16, 21) : « Exinde coepit Iesus ostendere discipulis suis quia oporteret eum ire Hierosolymam et multa pati a senioribus et principibus sacerdotum et scribis et occidi et tertia die resurgere. », SOURCE : SITE INTERNET DU VATICAN

[11] Lu sur internet dans un texte dont le titre est « L’adoration de la Croix le Vendredi Saint » ; SOURCE : site internet de la « Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X », à sa page : fsspx.news/fr/news/ladoration-la-croix-le-vendredi-saint-18976

[12] Traduit de la nova vulgata “typique” catholique en (1 Pierre 2, 2) : « …, sicut modo geniti infantes, rationale sine dolo lac concupiscite, ut in eo crescatis in salutem,… », SOURCE : SITE INTERNET DU VATICAN

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