Newsletter
LE BON GRAIN ET L'IVRAIE
Dernière parution
de l'auteur
Dieu - La science Les preuves
Archives

Les fils engendrés de Dieu… les agneaux et les christs





Pourquoi tenir camouflé que les fils de Dieu sont les frères puinés de Jésus qui est le Fils premier–engendré selon (Romains 8, 29 : “primogenitus “) ? Et de même que la bible écrit : Veuillez ne pas toucher mes christs” (“Nolite tangere christos meos Psaume 105 (104), 15 et 1 Chroniques 16, 22) ?

La bible, et cela est bien connu, enseigne que les fils de Dieu ont accepté des filles des hommes qu’ils ont élues comme femme-uxor (voir ce qu’est une uxor sur ce même blog : Femmes ?… uxor ou mulier ?…) parce qu’ils les trouvent belles (Bible, en Genèse 6, 2 [1]) : « les fils de Dieu voyant que les filles des humains fussent belles, ont accepté pour soi des femme-uxors de toutes celles qu’ils avaient élues. »… Donc il est écrit « noir sur blanc » dans la bible catholique canonique, que les fils de Dieu ont accepté pour soi des femme-uxors parmi les filles des humains… alors il est bibliquement donné à croire par la foi que Jésus-Christ, qui Lui-même fait partie des fils de Dieu, a accepté femme-uxor parmi les humaines, voire seulement accepté de la prendre à terme… En effet les noces de l’Agneau dont parle le saint Livre de l’Apocalypse de saint Jean, sont réputées avoir lieu dans le futur, mais en réalité la complexité du saint Livre de l’Apocalypse de saint Jean ne permet guère d’en être certain…

Qui sont ces femmes que les fils de Dieu acceptent en tant que femme-uxors ? Puisque les fils de Dieu sont des dieux selon l’enseignement de la sainte bible catholique (lire plus loin), ces femmes sont celles qui ont été, sont, ou seront faites consort de la nature divine selon la seconde lettre de saint Pierre : « afin que par ces choses nous soyons effectués consorts de la nature divine [2]» (2 Pierre 1, 2-4).

Les fils de Dieu ne sont pas à confondre avec une créature humaine : « De fait l’expectation de la créature expecte la révélation des fils de Dieu ; » (Romains 8, 19 [3]). Puisque saint Paul écrit que la créature, humaine par exemple, attend une révélation des fils de Dieu… c’est qu’une créature humaine n’est pas à confondre avec un fils de Dieu…

Dieu fait ou crée l’humain (Genèse 1, 26-27), mais il engendre ses Fils.

Le Seigneur (Dieu-Père) dit en effet à chacun de ses fils : « dans les splendeurs saintes, de l’utérus devant le lampadaire je t’ai engendré. [4]», notre Seigneur Jésus est de fait : « premier-engendré de toute créature [5]» (Colossiens 1, 15 ), tous les fils de Dieu puinés sont engendrés à partir de leur état de créature comme le confirme la seconde lettre de saint Pierre : « afin que par ces choses nous soyons effectués consorts de la nature divine [6]» (2 Pierre 1, 2-4).

Par comparaison il est écrit que Dieu fait l’humain : « Et Dieu a dit/dit/ : « Que nous fassions l’homme jusqu’à notre image et similitude. [7]» (Genèse 1, 26)… Et il est aussi écrit juste après que Dieu crée l’humain : « Et Dieu a créé l’humain vers son image ; vers l’image de Dieu il l’a créé ; mâle et femelle il a créé ceux-ci. [8]» (Genèse 1, 27).

Jésus est Lui-même premier-engendré parmi les engendrés : « Car, ceux qu’il a présus, et a prédestinés à être faits conformes à l’image de son Fils, afin qu’il soit lui-même premier-engendré parmi de nombreux frères. [9]» (Romains 8, 29). Vatican II précise présus et prédestinésavant les siècles : « Mais tous les élus le Père avant les siècles “a présus et a prédestinés être faits conformes à l’image de son Fils, afin qu’il soit lui-même premier-engendré parmi de nombreux frères” (Rom 8,29). [10]» (Vatican II en Lumen gentium § 2).

Les nombreux frères du Fils sont évidemment aussi Fils… cette phrase explique que les prédestinés, une fois devenus conformes à l’image de son Fils, c’est-à-dire devenus images de Dieu… peuvent alors devenir frères puinés du Fils premierengendré, donc engendrés comme Lui… ce qui est une divinisation par engendrement Divin des prédestinés.

Ainsi un psaume nous écrit très explicitement que les fils de Dieu sont des dieux… et tous fils du Très-Haut… mais avant de proposer la lecture de ce passage de ce psaume, voici le passage où Jésus-Christ Lui-même y fait référence dans l’évangile de saint Jean ; ce passage montre que parler « des dieux » au pluriel, était une entreprise déjà difficile chez les contemporains de Jésus qui voulurent le lapider pour avoir dit la parole suivante : « Les Judéens lui ont répondu : “D’après une bonne opération nous ne te lapidons pas mais d’après un blasphème, et que toi, homme que tu sois, te fais toi-même Dieu”. Jésus leurs a répondu : “Est-ce que n’a pas été écrit dans votre loi : Moi j’ai dit vous êtes des Dieux ?” S’il les a désignés dieux, ceux vers qui la parole de Dieu a été produite, et alors l’Ecriture ne peux pas être déliée, à celui que le Père a sanctifié et mis dans le monde, vous dites : “Blasphèmes”, parce que j’ai dit : je suis Fils de Dieu ? [11]» (Jean 10, 34-36). Notons bien que dans ce passage évangélique notre Seigneur Jésus se dit Fils de Dieu en s’assimilant aux dieux… il se compte objectivement parmi les dieux, donc parmi les fils de Dieu selon le psaume qui suit, dieux par lesquels la parole de Dieu a été produite… Et voici ce psaume auquel Jésus fait référence : « Dieu se tenait au concile divin, au milieu des dieux il juge. […] Moi j’ai dit : vous êtes des dieux, et tous fils du Très-Haut. [12]» (Ps 82, 1 puis 6-7).

Donc tous ces fils de Dieu sont les frères puinés de Jésus qui est le Fils premierengendré selon (Romains 8, 29 ci-dessus) et selon (Vatican II en Lumen gentium § 2 ci-dessus), ainsi que selon (Colossiens 1, 15 : « premier-engendré de toute créature [13]»), et encore selon (Hébreux 1, 6 : « Mais quand pour la seconde fois il introduit le premier-engendré dans l’orbe de la terre [14]»)… ces références bibliques canoniques et du saint concile Vatican II écrivent toutes le mot latin canonique genitum ce que nous traduisons ici par engendré.

Déplorons alors que la « bible officielle liturgique » de nos évêques francophones publiée en 2013 les traduit toutes à tort par « Premier-né », quand « naitre » se dit en latin nascor, avec son participe passé natus (né), et « naitre » n’est pas « engendrer » qui se dit ici par des déclinaisons de participe passé genitum ou genitus du verbe gigno. La sainte bible distingue bien les deux verbes naître et engendrer, par exemple en saint Jean : « Nous savons que chacun, qui est de Dieu, ne pèche pas, mais celui, qui est engendré de Dieu, le conserve, et le Mauvais ne le touche pas. [15]» (1 Jean 5, 18). L’évangéliste saint Jean utilise dans ce verset cette distinction des termes « naitre » et « engendrer », pour enseigner que celui qui est né de Dieu ne pèche pas du fait que celui qui est engendré de Dieu le conserve ; ce qui signifie que les nés de Dieu ne sont pas des engendrés de Dieu, et aussi que les engendrés de Dieu agissent pour conserver les nés de Dieu hors de pécher : car ce n’est pas par elle-même seulement qu’une personne née de Dieu ne peut pas pécher, mais grâce à la toute-puissance de Dieu, c’est-à-dire ici aussi des engendrés du Seigneur (Dieu-Père) que sont aussi les frères puinés de Jésus le premier-engendré ; car la bible enseigne que Dieu peut empêcher certains hommes de pécher, même aussi les « païens » comme cela est écrit dans le Livre de la Genèse bien avant la venue de Jésus-Christ : « Et moi je sais que par un cœur simple tu auras fait ; et pour cette raison je t’ai gardé, ne pas que tu péchasses en moi  [16]» (Genèse 20, 6). Dans ce passage du Livre de la Genèse, Dieu empêche un « païen » de pécher, le roi philistin Abimelech qui est en Dieu puisque Dieu dit qu’il est « en moi ».

Pourtant ce mot latin canonique genitum est aussi traduit par engendré par la conférence des évêques de France dans leur credo : « Il est Dieu, de Dieu, lumière, née de la lumière, vrai Dieu, du vrai Dieu Engendré non pas créé, consubstantiel au Père ; [17] » (Credo : symbole de Nicée-Constantinople). Notons au sujet du Credo, que la dernière version a été semble-t-il défini beaucoup plus tard que « Nicée-Constantinople » pendant le saint Concile de Trente où notre Seigneur Jésus-Christ est écrit être : « Dieu de Dieu, lumière de la lumière, Dieu vrai de Dieu vrai ; engendré, non fait ; consubstantiel au Père ; [18]» (Concile de Trente, session 3, Décret du Symbole de la foi). Ainsi, selon le « credo » notre Seigneur Jésus-Christ n’est pas fait en tant que Dieu mais engendré en tant que Dieu.

De plus il est écrit dans l’ancien et dans le nouveau testament qu’il existe un Dieu des dieux, et que dans le ciel ou sur terre existent des dieux nombreux : « parce que le Seigneur votre Dieu lui-même est Dieu des dieux et Seigneur des dominants [19]» (Deutéronome 10, 17). Aussi saint Paul explique : « De fait aussi si sont, lesquels sont dits dieux ou dans le ciel ou sur terre, si certes les dieux sont nombreux et les seigneurs nombreux, pour nous cependant un Dieu Père, duquel toutes choses et nous en celui-ci, et un Seigneur Jésus-Christ, par lequel toutes choses et nous par lui-même. [20]» (1 Corinthiens 8, 5-6). Selon le magister de la nova vulgata “typique” catholique [21] il existe donc de nombreux dieux mais un seul est le Dieu Père.

Donc notre Seigneur Jésus est premier-engendré Fils de Dieu ; si les saintes écritures précisent « premier-engendré » au singulier… cela suffit à penser qu’il y a au moins un second-engendré… et que viennent ensuite tous les fils de Dieu… et de fait les saintes écritures parlent de « premiers-engendrés » qui est une expression au pluriel désignant ceux qui constituent une église des premiers-engendrés qui coexiste avec les anges et les esprits des justes accomplis  : « Mais vous avez accédé vers le mont Sion et la cité de Dieu vivant, Jérusalem céleste, et les nombreux milliers d’anges, l’affluence, et l’église des premiers-engendrés, qui ont été coécrits dans les cieux, et Dieu le juge de toutes choses et les esprits des justes, qui sont accomplis, … » (Hébreux 12, 22-23 [22]).

Saint Pierre écrit à propos de ceux qui ont été choisis : « 1. Simon Pierre esclave et apôtre de Jésus-Christ à ceux, qui coégaux à nous ont été choisis […], afin que par celles-ci vous soyez produits consorts [23] de la nature divine,… [24] » (2 Pierre 1, 1-4).

Ajoutons encore que notre Seigneur Jésus est Agneau de Dieu selon (saint Jean 1, 29 et 36 : « Ecce agnus Dei,… ») et qu’il existe d’autres agneaux puisque Jésus, demande à saint Pierre de les paître  « Pais mes agneaux » (saint Jean 21, 15 : « Pasce agnos meos »). De plus dans le livre de l’Apocalypse saint Jean écrit que l’Agneau à sept yeux qui sont sept esprits… : « Et j’ai vu au milieu du trône et des quatre animaux et au milieu des vieillards un Agneau se tenant debout comme occis, possédant sept cornes et sept yeux, qui sont sept esprits de Dieu mis sur toute la terre. [25]» (Apocalypse saint Jean 5, 6)… Alors si l’Agneau sont sept esprits de Dieu… l’Agneau ne semble pas seulement Jésus qui n’est pas sept esprits à Lui seul.

Et si les fils engendrés de Dieu sont nombreux, et constituent une église des premiers-engendrés selon ce que nous avons rappelé ci-dessus, il existe aussi plusieurs christs : le saint magister catholique enseigne qu’il existe plusieurs christs puisque la bible écrit : « Veuillez ne pas toucher mes christs… » (« Nolite tangere christos meos » Psaume 105 (104), 15 et 1 Chroniques 16, 22). Ces christs sont sans aucun doute les membres du Corps du Christ. Sans doute que bâtir la sainte Eglise du Christ sur saint Pierre est aussi la bâtir sur le Christ puisque notre Seigneur Jésus a renommé Simon en Pierre et que saint Paul écrit que « … ; mais la pierre était le Christ. [26]» (1 Corinthiens 10, 4).





Par Arnaud Barbey le 18 avril 2024






les fils de dieu et les filles des hommes – fils de dieu verset biblique – engendrer définition biblique – engendré dans la bible – liste des fils de dieu – les fils de dieu dans la bible – les fils de dieu dans l’ancien testament – fils de dieu signification – enfant de dieu verset biblique – genèse 6 v 2 – genese 6:2 explication – genèse 6 2 explication – les fils de dieu dans genèse 6 – qui sont les fils de dieu de genèse 6 – genèse 6 1 4 – genèse 6 1-4 explication – les fils de dieu virent – Jésus


[1] Traduit de la neuve vulgate canonique en (Livre de la Genèse 6, 2) « videntes filii Dei filias hominum quod essent pulchrae, acceperunt sibi uxores ex omnibus, quas elegerant. »

[2] Traduit de la nova vulgata “typique” catholique en (2 Pierre 1, 2-4) : « ut per haec efficiamini divinae consortes naturae »).

[3] Traduit de la nova vulgata canonique en (Romains 8, 19) : « Nam exspectatio creaturae revelationem filiorum Dei exspectat; »

[4] Traduit de la nova vulgata “typique” catholique en (Psaume 110, 2-3) « 2. […] Dominus ex Sion : […] 3. in splendoribus sanctis, ex utero ante luciferum genui te. »

[5] Traduit de la nova vulgata “typique” en (Colossiens 1, 15 ) : « primogenitus omnis creaturae »

[6] Traduit de la nova vulgata “typique” catholique  en (2 Pierre 1, 2-4) : « ut per haec efficiamini divinae consortes naturae »).

[7] Traduit de la nova vulgata “typique” en (Livre de la Genèse 1, 26) : « Et ait Deus: “Faciamus hominem ad imaginem et similitudinem nostram; »

[8] Traduit de la nova vulgata “typique” catholique en (Livre de la Genèse 1, 27) : « Et creavit Deus hominem ad imaginem suam ; ad imaginem Dei creavit illum ; masculum et feminam creavit eos.»

[9] Traduit de la nova vulgata “typique” en (Romains 8, 29)  « Nam, quos praescivit, et praedestinavit conformes fieri imaginis Filii eius, ut sit ipse primogenitus in multis fratribus ; »

[10] Traduit du latin canonique de Vatican II, en Lumen gentium, § 2  « Omnes autem electos Pater ante saecula “praescivit et praedestinavit conformes fieri imaginis Filii sui, ut sit ipse primogenitus in multis fratribus” (Rom 8,29). »

[11] Traduit de la nova vulgata “typique” en (évangile de saint Jean 10, 33-36) : « Responderunt ei Iudaei: “ De bono opere non lapidamus te sed de blasphemia, et quia tu, homo cum sis, facis teipsum Deum ”. 34 Respondit eis Iesus: “Nonne scriptum est in lege vestra: “Ego dixi: Dii estis?”. 35 Si illos dixit deos, ad quos sermo Dei factus est, et non potest solvi Scriptura, 36 quem Pater sanctificavit et misit in mundum, vos dicitis: “Blasphemas!”, quia dixi: Filius Dei sum? »

[12] Traduit de la neuve vulgate “typique” en (Psaume 82, 1 puis 6-7) : « Ego dixi : Dii estis, et filii Excelsi omnes. […] Deus stetit in concilio divino, in medio deorum iudicat. »

[13] Traduit de la nova vulgata “typique” en (Colossiens 1, 15 ) : « primogenitus omnis creaturae »

[14] Traduit de la nova vulgata “typique” en (Hébreux 1, 6) : « Cum autem iterum introducit primogenitum in orbem terrae, dicit : »

[15] Traduit de la neuve vulgate “typique” en (1 Jean 5, 18) : « Scimus quoniam omnis, qui natus est ex Deo, non peccat, sed ille, qui genitus est ex Deo, conservat eum, et Malignus non tangit eum. ».

[16] Traduit de la neuve vulgate canonique en (Livre de la Genèse 20, 6) : « Et ego scio quod simplici corde feceris; et ideo custodivi te, ne peccares in me, et non dimisi, ut tangeres eam. »

[17] Source : site internet de la conférence des évêques de France à sa page : eglise.catholique.fr/approfondir-sa-foi/prier/prieres/369508-credo-symbole-de-nicee/

[18] Traduit du latin canonique du Symbole de la foi : « Deum de Deo, lumen de lumine, Deum verum de Deo vero ; genitum, non factum ; consubstantialem Patri ; » (Concile de Trente, session 3, Décret du symbole de la foi.), source : Sacrosancta Concilia de Labbei et Cossarti Ad Regiam Editionem, venetiis MDCCXXXIII, tome 20, page 19 (consultable sur internet en PDF sur patristica.net/labbe, édition de 1728 à 1733).

[19] Traduit de la neuve vulgate latine “typique” en (Deutéronome 10, 17) : « quia Dominus Deus vester ipse est Deus deorum et Dominus dominantium »).

[20] Traduit de la neuve vulgate typique en (1 Cor 8, 5-6) : « 5 Nam et si sunt, qui dicantur dii sive in caelo sive in terra, si quidem sunt dii multi et domini multi, 6 nobis tamen unus Deus Pater, ex quo omnia et nos in illum, et unus Dominus Iesus Christus, per quem omnia et nos per ipsum. »

[21] MAGISTER : la vulgate latine est a proféré dans les disputations, les lectures et les discours publics : « Donc cette éminente autorité de la Vulgate ou si, comme ils affirment, maitresse elle a été statuée non à cause des raisons surtout critiques du Concile, mais plutôt à cause du légitime usage de celle-ci dans l’Eglise, eu à travers tant de déroulement des siècles ; par lequel usage certes est démontré la même (Ndlt : autorité), selon qu’a intelligé et intellige l’Eglise, dans les choses de la foi et des mœurs de toute erreur être absolument immune; ainsi pour que, par l’Eglise elle-même attestant et confirmant, elle puisse être proférée dans les disputations, les lectures et les discours publics en sureté et sans danger d’errer ; » (Pape Pie XII, Divino afflante Spiritu, chap. 2) extrait de la Lettre encyclique du Pape Pie XII sur les études bibliques, chapitre 2, traduit du latin canonique : « Haec igitur praecellens Vulgatae auctoritas seu, ut aiunt, authentia non ob criticas praesertim rationes a Concilio statuta est, sed ob illius potius legitimum in Ecclesiis usum, per tot saeculorum decursum habitum ; quo quidem usu demonstratur eamdem, prout intellexit et intellegit Ecclesia, in rebus fidei ac morum ab omni prorsus esse errore immunem; ita ut, ipsa Ecclesia testante et confirmante, in disputationibus, lectionibus concionibusque tuto ac sine errandi periculo, proferri possit ; » (Pape Pie XII, Divino afflante Spiritu, chapitre 2) SOURCE :
Actes du Siège Apostolique (Acta Apostolicae Sedis) N° 35 (1943) page 309), Pius PP. XII, Litterae Encyclicae, DE SACRORUM BIBLIORUM STUDIIS OPPORTUNE PROVEHENDIS, die 30 mensis Septembris 1943 : consultable sur internet sur le site du Vatican : www.vatican.va/archive/aas/documents/AAS-35-1943-ocr.pdf
— site internet du Vatican : w2.vatican.va/content/pius-xii/la/encyclicals/documents/hf_p-xii_enc_19430930_divino-afflante-spiritu.html

[22] Traduit de la nova vulgata “typique” en (Hébreux 12, 22-23) : « Sed accessistis ad Sion montem et civitatem Dei viventis, Ierusalem caelestem, et multa milia angelorum, frequentiam 23 et ecclesiam primogenitorum, qui conscripti sunt in caelis, et iudicem Deum omnium et spiritus iustorum, qui consummati sunt,… »

La vulgata sixto-clémentine écrit quant à elle assez différemment : « Mais vous avez accédé vers le mont Sion, et la cité de Dieu vivant, Jérusalem céleste, et l’affluence des nombreux milliers d’anges, et l’église des primitifs, qui ont été coécrits dans les cieux, et le juge de toutes choses Dieu, et les esprits des justes parfaits, … » Traduit de la vulgata sixto-clémentine canonique en (Hébreux 12, 22-23) : « 22 Sed accessistis ad Sion montem, et civitatem Dei viventis, Jerusalem cælestem, et multorum millium angelorum frequentiam, 23 et ecclesiam primitivorum, qui conscripti sunt in cælis, et judicem omnium Deum, et spiritus justorum perfectorum,… »

[23] — consorts signifie « les gens de même espèce. » selon sa signification usuelle, source : § A. 2. du dictionnaire français du Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales à la page : www.cnrtl.fr/definition/consort

— consorts signifie « qui partage le sort » source : fr.wiktionary.org/wiki/consort

[24] Voici ce passage en entier : « 1. Simon Pierre esclave et apôtre de Jésus-Christ à ceux, qui coégaux à nous ont été choisis la foi dans la justice de notre Dieu et sauveur Jésus-Christ : 2. grâce à vous aussi que la paix soit multipliée dans la cognition de Dieu et de Jésus notre Seigneur. 3. De quelle manière toutes choses pour nous de sa divine puissance donnée vers la vie et la piété à travers la cognition de lui, qui nous a appelé par propre gloire et puissance, 4. par lesquelles précieuses et très grandes à nous les promesses ont été données, afin que à travers celles-ci vous soyez effectués consorts (voir note (1) ci-dessous) de la nature divine, fuyant celle, laquelle dans le monde est dans la concupiscence, la corruption ; » Traduit de la neuve vulgate “typique” en (2 Pierre 1, 1-4) : « 1 Simon Petrus servus et apostolus Iesu Christi his, qui coaequalem nobis sortiti sunt fidem in iustitia Dei nostri et salvatoris Iesu Christi: 2 gratia vobis et pax multiplicetur in cognitione Dei et Iesu Domini nostri. 3 Quomodo omnia nobis divinae virtutis suae ad vitam et pietatem donatae per cognitionem eius, qui vocavit nos propria gloria et virtute, 4 per quae pretiosa et maxima nobis promissa donata sunt, ut per haec efficiamini divinae consortes naturae, fugientes eam, quae in mundo est in concupiscentia, corruptionem ; »
NOTE (1) :
— consorts signifie « les gens de même espèce. » selon sa signification usuelle, source : § A. 2. du dictionnaire français du Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales à la page : www.cnrtl.fr/definition/consort
— consorts signifie « qui partage le sort » source : fr.wiktionary.org/wiki/consort

[25] Traduit de la nova vulgata “typique” en (Apocalyse de saint Jean 5, 6) : « Et vidi in medio throni et quattuor animalium et in medio seniorum Agnum stantem tamquam occisum, habentem cornua septem et oculos septem, qui sunt septem spiritus Dei missi in omnem terram. » 

[26] Traduit de la nova vulgata “typique” en (1 Corinthiens 10, 4) : « … ; petra autem erat Christus. »






nom des anges fils de dieu – les 7 anges de l’apocalypse – les anges de l’apocalypse bible – les 7 anges de dieu les plus puissants – les 7 anges de dieu et leurs rôles – les 7 anges de dieu

0 0 votes
Évaluation de l'article
S’abonner
Notifier de
guest
0 Commentaires
Inline Feedbacks
View all comments