Newsletter
LE BON GRAIN ET L'IVRAIE
Archives
Pas de réponse à “Linguistique / science du langage”
Recherche sur le blog
Livre d’or
Catégories
- —– Articles courts —– (8)
- —– Divers —– (11)
- —– Non classé —– (3)
- —– Pour les costauds+ —– (1)
- —– Pour les nuls… —– (6)
- Benoît XVI (1)
- Bisounours (2)
- Ethique (7)
- Mariage des prêtres (4)
- Menus de navigation (2)
- Pentecôte (2)
- Sacrifice aux démons (1)
Derniers articles
-
Un presbytre commet son ministère avec sa femme
(canon 8 du Concile de Néocésarée) - A propos de l’encyclique “Dilexit nos” du Pape François
- Qu’est-ce que ça veut dire que Dieu parle…
- Voici comment un faux concept théologique peut soutenir une très grave hérésie…
- Les fils engendrés de Dieu… les agneaux et les christs
Déconnexion
Voir tous les posts
L’auteur serait heureux d’avoir votre commentaire sur un sujet aussi polémique dans l’église ! Comment comprenez-vous ces paroles bibliques ?
Tout ça est bien beau mais la Vulgate 1°) ne fait pas référence aujourd’hui 2) était une très mauvaise traduction car les connaissances de l’hébreu n’étaient pas aussi disponibles qu’aujourd’hui.
Si l’on regarde le texte hébreu originel,il ne parle pas d’âmes du tout, et encore moins “d’âmes d’humains de sexe féminin”.
Les mots employés en Nb 31, 35 sont “nephesh” pour dire le nombre total de “personnes” (au sens d’êtres vivants, pourvus de sens, émotions et souffle, d’âme si vous voulez) et puis le mot “Ishshah” pour désigner des femmes (féminin de Ish, l’homme mâle, tels qu’ils sont d’ailleurs employés dans le récit de la Genèse).
Il est bien clair que la traduction de la Vulgate est sur ce point hors sujet.
Par ailleurs, citer Nb 31, 35 : une énumération de prises de guerres (en clair d’esclaves) avec cette précision vantarde que parmi ceux-ci il y a tant de sujets femelles qui n’ont pas encore connu d’hommes, pour soutenir votre propos…c’est un peu limite, quand même.
Il faudrait vous former un petit peu plus avant de vous exprimer publiquement sur ce genre de sujet au risque d’induire les gens en erreur.
Votre intention est certainement généreuse mais, comme pour toute discipline, il est bon d’acquérir les principes fondamentaux de l’éxégèse avant de s’amuser à voler de ses propres ailes.
Je vous remercie de votre commentaire.
Vous me dites que, je vous cite : « la Vulgate 1°) ne fait pas référence aujourd’hui ».
Pouvez-vous me dire s’il vous plaît pour qui la neuve vulgate ne fait-elle pas référence aujourd’hui ?
Car pour qui se dit catholique, la neuve vulgate latine est bien l’édition « typique » à employer dans la liturgie selon la demande du Concile Vatican II.
Avec mes remerciements pour votre réponse,
Arnaud
Réponse à Correctif,
Je trouve votre nom « Correctif » imbu de lui-même !
A tort vous me dites que le texte hébreu originel ne parle pas d’âmes du tout mais emploie le mot «nephesh»… dont vous finissez par m’écrire qu’il signifie âme…!
Pardonnez-moi mais me reprocher de parler d’âme alors que vous admettez qu’il s’agit bien d’une âme… me semble n’être qu’un artifice pour dénigrer un article montrant que bibliquement la femme a bien une âme.
Il peut sembler que vous vouliez ainsi cacher que la femme a une âme… d’autant plus que vous les appelez ici “sujets femelles” alors même que votre propre référence en hébreu pour ce verset «Ishshah» désigne des femmes selon votre commentaire. N’avez vous donc pas peur d’être traité de misogyne !
Qui qu’il en soit votre commentaire traduit votre rejet du Magister Catholique canonique par votre refus de la vulgate canonisée par le Concile de Trente : vous refusez ainsi que ceux qui ont travaillé aux diverses traductions/révisions de la vulgate aient pu être saisi par l’Esprit-Saint auteur du don de toutes langues depuis la Pentecôte… Et vous prenez donc comme source exclusivement des textes dont l’origine historique est inconnue et qui ont pu être en partie, mais suffisamment, invalidés par l’action des erreurs, voire dénaturations, au cours de l’histoire soumise parfois aux démons du “prince de ce monde”, avant qu’ils ne fussent sous la garde de l’Église du Christ bâtie sur saint Pierre, et sur laquelle Jésus exerce sa grâce afin que les voies de l’enfer ne prévalent pas sur elle (Mathieu 16, 18).
d’arnaud test 10/03/2024 à 11h51