Disciples de Jésus Christ
L’homme chrétien est chargé de rendre sa propre femme-uxor[1] sainte et immaculée [2]… alors comment les épiscopes, les presbytres et les diacres, qui n’ont pas cette expérience au sein de leur propre foyer pourraient-ils sanctifier l’église ? C’est bien ce qu’écrit saint Paul « Car si quelqu’un ne sait pas diriger sa propre maison, comment pourrait-il prendre en charge une Église de Dieu ? » (Timothée 3, 5 de la bible liturgique des évêques francophones)… Ce sont les ministères de diacres, de presbytres, et d’épiscopes, auxquels est ordonné par les saintes écritures canoniques d’avoir femme-uxor et fils [3] afin de connaitre « en vrai » les œuvres du Christ dans les familles selon l’enseignement constant des évangiles… Histoire d’apprendre à comprendre pratiquement ce que signifie Jésus-Christ quand il enseigne : « Si quelqu’un vient à moi et ne hait pas son père et mère et femme-uxor et fils et frères et sœurs, encore aussi son âme, il ne peut pas être mon disciple. [4]» (Luc 14, 26)… tous ceux et celles qui ne peuvent pas comprendre ce passage pratiquement « avec les tripes » ne sont de fait pas des disciples de Jésus Christ…
La bible en parle pourtant de nombreuses fois dans les évangiles… pourtant nos « pasteurs » n’en parlent absolument jamais, alors que cette action du Christ est le cœur de son œuvre de rédemption sur terre… Jésus dit par exemple : « Refusez d’arbitrer que je sois venu mettre la paix sur la terre ; je ne suis pas venu mettre la paix mais le glaive. En fait je suis venu séparer l’homme vis-à-vis de son père et la fille vis-à-vis de sa mère et la bru vis-à-vis de sa belle-mère : et les ennemis de l’humain (sont) les gens de sa maison. [5]» (saint Mathieu 10, 34). Car s’il est évident que Jésus veut la paix… il exige la paix dans la justice… et donc ces familles où Jésus met le glaive sont les lieux où un de ses disciples membre de la famille obéit aux mandements de Jésus de demander la pénitence aux pécheurs… et quand une véritable pénitence par la réparation des fautes par les pécheurs est refusée… quand un fautif refuse de réparer, la paix ne peut pas régner entre celui-ci et sa victime quand la victime ou un tiers fait la demande de réparation. En effet dans les évangiles, saint Luc conditionne le « pardon » à la réparation (pénitence) par le pécheur à sa victime : « Faites attention à vous ! Si ton frère aura péché, blâme-le et, s’il aura agi la pénitence, démet à celui-ci ; et si sept fois par jour il aura péché envers toi et sept fois se sera converti auprès de toi en te disant : “Je suis pénitent par moi (ablatif=complément de moyen)”, tu démettras à celui-ci. [6]» (saint Luc 17, 3).
Ce verset ci-dessus (saint Luc 14, 26) est en plus « sans appel » avec ses « et », et non pas des “ou bien”… qui fait d’un disciple du Christ celui qui hait presque toute sa famille proche mis à part ses propres filles : père et mère et femme-uxor et fils et frères et sœurs… et aussi sa propre âme. Et donc nos évêques francophones, pour élargir ce faible nombre de disciples en y faisant figurer des faux-disciples qui ne répondent pas du tout à ses critères évangéliques très précis… se sont empressés de trafiquer énormément l’évangile par un pseudo christianisme par : « Si quelqu’un vient à moi sans me préférer à son père, sa mère, sa femme, ses enfants, ses frères et sœurs, et même à sa propre vie, il ne peut pas être mon disciple. » (source : leur bible « officielle liturgique » publiée en 2013)… en supprimant les « et » et le « haïr »… Traffication pire encore que d’autres beaucoup moins graves qui remplacent « fils » par « enfants »…, et ne suppriment que les « et »… comme la bible de Jérusalem qui écrit « Si quelqu’un vient à moi sans haïr son père, sa mère, sa femme, ses enfants, ses frères, ses sœurs, et jusqu’à sa propre vie, il ne peut être mon disciple. »… Ou la bible de l’abbé Crampon qui vire le « et » mais écrit quand même « Si quelqu’un vient à moi et ne hait pas son père, sa mère, sa femme, ses enfants, ses frères et ses sœurs, et même sa propre vie, il ne peut être mon disciple. »… Ou encore la bible du protestant Louis Segond dans sa nouvelle version : « Si quelqu’un vient à moi et ne déteste pas son père, sa mère, sa femme, ses enfants, ses frères, ses sœurs et même sa propre vie, il ne peut être mon disciple. ».
Et il s’agit bien de tels vrais disciples à qui Jésus parle ainsi : « Et accédant les disciples ont dit à celui-ci : “Pourquoi en paraboles parles-tu à ceux-ci ?”. Lequel en répondant a dit à eux :”Parce qu’à vous est donné d’apprendre à connaitre les mystères du règne des cieux, mais à ceux-ci n’est pas donné. » (Mathieu 13, 10-11 [7]). Il se peut aussi que le sacrement de l’ordre (hiérarchique) par sa vertu donne aussi « d’apprendre à connaitre les mystères du règne des cieux » à qui le reçoit sans être disciple, ou pas encore disciple… mais cela n’est pas écrit dans la sainte bible canonique… toujours est-il que sans l’expérience forte ci-dessus qui donne accès à être disciple de Jésus-Christ pour aussi « apprendre à connaitre les mystères du règne des cieux », il semble impossible à l’auteur de ce livre de comprendre tout ce qui est expliqué par avoir fait cette expérience de vie, et non par un simple « enseignement intellectuel » !
Dans un discours aux participants à la convention internationale sur la formation permanente des sacerdoces promue par le dicastère pour le clergé, le Pape François aurait dit : « … : ce n’est que si nous sommes et restons disciples que nous pouvons devenir des ministres de Dieu et des missionnaires de son Royaume. » (Pape François [8]).
Une femme peut aussi compter parmi les disciples de Jésus-Christ, du fait qu’une femme est mentionné en tant que disciple au Livre des Actes des Apôtres : « Mais à Joppe était une certaine disciple du nom de Tabitha, … [9]» (Actes des Apôtres 9, 36). On comprend que concernant une femme disciple, elle ne peut pas répondre à ce critère de sélection des disciples de haïr sa femme-uxor selon saint Luc : « Si quelqu’un vient à moi et ne hait pas son père et mère et femme-uxor et fils et frères et sœurs, encore aussi son âme, il ne peut pas être mon disciple. [10]» (Luc 14, 26)… Sans doute faut-il croire qu’à la place un critère de sélection des femmes disciples est de haïr leur homme…
On peut par contre admettre raisonnablement que celui qui satisfait à une partie seulement des critères est en proportion en partie disciple, mais pas un disciple accomplit…
En réalité celui qui peut devenir disciple de Jésus-Christ est celui qui a compris en l’éprouvant « dans ses tripes » le pourquoi profond de l’exigence de la « pénitence », c’est pourquoi Jésus-Christ n’envoie évangéliser que des disciples et pas les autres, puisque le kérygme du salut est de prêcher la conversion et la pénitence [11] :
Car la réparation (=pénitence) de ce que nous avons mal fait est l’étape fondamentale (première) vers une civilisation de l’amour car c’est la réparation qui permet de restaurer la justice, donc ensuite seulement la paix, toutes deux préalable à partir duquel une civilisation de l’amour peut commencer à grandir. La pénitence (=réparation par le fautif lui-même) est donc la plus belle et fondamentale démarche typiquement chrétienne, puisque c’est sur son fondement que peut être opérée la démission des péchés (voir (Luc 17, 3) ci-dessus), puis, à espérer, une réconciliation qui seule permet une civilisation de l’amour…
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Dans le nouveau testament le nombre de disciples est de très loin supérieur au nombre des apôtres… Il est écrit que le Seigneur Jésus Lui-même en désigna 72 autres (saint Luc 10, 1 puis 23)… Que le Seigneur Jésus Lui-même en désigne 72 autres montre que ces 72 n’étaient pas les premiers désignés par Lui-même. De plus, au Livre des Actes des Apôtres, au tout début du chapitre 6, il est écrit que le nombre des disciples croissait et qu’ils étaient alors une multitude convoqués (du latin “typique” « Convocantes ») par les 12 apôtres (Actes des Apôtres 6, 1-2). Puis, après l’élection parmi les disciples et par eux-mêmes des 7 « ministres des tables », puis la prière et l’imposition des mains des 12 apôtres sur ces 7 ministres des tables, il est écrit que le nombre des disciples était encore multiplié fortement (Actes des Apôtres 6, 7).
Par Arnaud Barbey, le 22 mars 2024
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[1] La bible distingue les femme en tant qu’uxor (femme mariée) ou en tant que mulier… lire à ce sujet notre article dans ce même blog intitulé Femmes ?… uxor ou mulier ?…
[2] « Hommes, dilectionnez les femme-uxors, comme aussi le Christ a dilectionné l’église et Lui-même est livré pour elle, afin qu’il l’ait sanctifié la purifiant par le bain de l’eau dans la parole, de manière qu’il ne s’est pas suscité à Lui-même une église présomptueuse ayant macule ou ride ou quelque chose de telle sorte, mais pour qu’elle soit sainte et immaculée. De cette manière aussi les hommes sont tenus de dilectionner leurs femme-uxors comme leurs corps. Qui sa femme-uxor dilectionne, dilectionne lui-même ; aucune personne en réalité a d’habitude sa chair en haine, mais l’alimente et la soigne comme aussi le Christ l’église, parce que nous sommes des membres de son corps. A cause de ceci l’homme laissera père et mère et s’attachera à sa femme-uxor, et ils seront deux avec une chair une. Ce mystère est grand ; mais moi je dis du Christ et l’église ! Vraiment cependant aussi vous chacun en particulier chacun sa femme-uxor comme soi-même qu’il dilectionne ; mais que la femme-uxor craigne l’homme. » (Ephésiens 5, 25-33 traduit de la neuve vulgate “typique” catholique : « 25 Viri, diligite uxores, sicut et Christus dilexit ecclesiam et seipsum tradidit pro ea, 26 ut illam sanctificaret mundans lavacro aquae in verbo, 27 ut exhiberet ipse sibi gloriosam ecclesiam non habentem maculam aut rugam aut aliquid eiusmodi, sed ut sit sancta et immaculata. 28 Ita et viri debent diligere uxores suas ut corpora sua. Qui suam uxorem diligit, seipsum diligit; 29 nemo enim umquam carnem suam odio habuit, sed nutrit et fovet eam sicut et Christus ecclesiam, 30 quia membra sumus corporis eius. 31 Propter hoc relinquet homo patrem et matrem et adhaerebit uxori suae, et erunt duo in carne una. 32 Mysterium hoc magnum est; ego autem dico de Christo et ecclesia! 33 Verumtamen et vos singuli unusquisque suam uxorem sicut seipsum diligat; uxor autem timeat virum. »).
NOTE : il faut comprendre que saint Paul adresse cette lettre exclusivement aux saints et aux fidèles à la parole de Jésus-Christ, donc à des non pécheurs… ou très peu pécheurs… c’est ce qu’il écrit en entête de cette lettre (1 Paulus, apostolus Christi Iesu per voluntatem Dei, sanctis, qui sunt Ephesi, et fidelibus in Christo Iesu: ).
Il demande donc, comme en (1 Corinthiens 7, 2), à tous les saints et les fidèles d’avoir une femme-uxor pour la rendre sainte et immaculée… ce qui signifie que les saints et les fidèles prennent une femme-uxor qui n’est ni sainte ni fidèle. On peut croire que l’inverse aussi est vrai et que les femmes saintes et fidèles aux prescriptions de la loi évangélique prennent pour homme un qui n’est pas saint ou pas fidèle aux prescriptions de la loi évangélique.
[3] Selon l’apôtre saint Paul dont les écrits forment la plus grande part du nouveau testament de la bible…, autant les épiscopes (1 Tim 3, 1-5) que les presbytres en (Tite 1, 5-6) et les diacres (1 Timothée 3, 12-13)… doivent avoir femme et fils… mais il est précisé à chaque fois « homme d’une (seule) femme » autant pour les épiscopes que pour les presbytres et les diacres.
Obligation pour tous les clercs suivants d’avoir femmes et fils :
— Les presbytes : « et que tu constitues par cités les presbytes, de même que moi pour toi j’ai disposé, si quelqu’un est sans crime, homme d’une femme-uxor, ayant les fils fidèles, non en accusation de luxure ou bien non soumis. » (Tite 1, 5-6 : voir NOTE (1)).
— Les diacres :« Que les diacres soient les hommes d’une femme-uxor, qu’ils président bien leurs fils et leurs maisonnées ; lesquels de fait auront bien ministré, acquerront bien pour soi le degré (Ndlt : de diacre dans le sacrement de l’Ordre) et beaucoup de confiance dans la foi, laquelle est dans le Christ Jésus. » (1 Timothée 3, 12 : voir NOTE (2)).
— Les épiscopes : « Sermon du fidèle : si quelqu’un a un appétit pour l’épiscopat, il désire une bonne œuvre. Il faut donc à l’épiscope être irrépréhensible, homme d’une femme-uxor, sobre, prudent, belle apparence (Ndlt : le texte écrit “orné”), hospitalier, docteur, non ivre, ne frappant pas mais modéré, non querelleur, non cupide, bien préétablir sa maisonnée, ayant des fils en soumission avec toute chasteté — mais si quelqu’un ne sait pas présider à sa maisonnée, comment d’une église de Dieu aura-t-il la cure ? » (1 Tim 3, 1-5 : voir NOTE (3)).
Or Jésus-Christ dit en saint Jean : « l’Ecriture ne peux pas être déliée» (Jean 10, 34 traduit de la nova vulgata canonique en (Jean 10, 35) « Respondit eis Iesus: […] non potest solvi Scriptura »). Ce qui signifie que la sainte Parole de Dieu ne peut pas être séparée de son interprétation ni des supputations théologiques…
Pour cette raison le Catéchisme de l’Eglise catholique écrit : « Tous les sens [de l’Écriture sacrée] seront fondés sur un, évidemment littéral » (CEC § 116 traduit du texte latin du catéchisme de l’église catholique au § 116 : « Sensus litteralis. […] « Omnes [sacrae Scripturae] sensus fundentur super unum, scilicet litteralem ».).
— NOTE (1) : Traduit de la nova vulgata “typique” en (Tite 1, 5-6) : « […] et constituas per civitates presbyteros, sicut ego tibi disposui, 6 si quis sine crimine est, unius uxoris vir, filios habens fideles, non in accusatione luxuriae aut non subiectos. »
— NOTE (2) : Traduit de la nova vulgata canonique en (1 Timothée 3, 12-13) : « Diaconi sint unius uxoris viri, qui filiis suis bene praesint et suis domibus ; 13 qui enim bene ministraverint, gradum sibi bonum acquirent et multam fiduciam in fide, quae est in Christo Iesu. »
— NOTE (3) : Traduit de la nova vulgata “typique” en (1 Tim 3, 1-5) : « Fidelis sermo : si quis episcopatum appetit, bonum opus desiderat. 2 Oportet ergo episcopum irreprehensibilem esse, unius uxoris virum, sobrium, prudentem, ornatum, hospitalem, doctorem, 3 non vinolentum, non percussorem sed modestum, non litigiosum, non cupidum, 4 suae domui bene praepositum, filios habentem in subiectione cum omni castitate 5 — si quis autem domui suae praeesse nescit, quomodo ecclesiae Dei curam habebit? »
[4] Traduit de la neuve vulgate canonique en (Luc 14, 26) : « Si quis venit ad me et non odit patrem suum et matrem et uxorem et filios et fratres et sorores, adhuc et animam suam, non potest esse meus discipulus. »
[5] Traduit de la neuve vulgate canonique (Mathieu 10, 34) : « 34 Nolite arbitrari quia venerim mittere pacem in terram; non veni pacem mittere sed gladium. 35 Veni enim separare hominem adversus patrem suum et filiam adversus matrem suam et nurum adversus socrum suam: 36 et inimici hominis domestici eius. »).
[6] « Faites attention à vous ! Si ton frère aura péché, blâme-le et, s’il aura agi la pénitence, démet à celui-ci ; et si sept fois par jour il aura péché envers toi et sept fois se sera converti auprès de toi en te disant : “Il me peine (Ndlt : littéralement « (la conséquence de la faute) me pénitencie »)”, tu démettras à celui-ci. » (Luc 17, 3) traduit de la neuve vulgate “typique” catholique : « Attendite vobis ! Si peccaverit frater tuus, increpa illum et, si paenitentiam egerit, dimitte illi; 4 et si septies in die peccaverit in te et septies conversus fuerit ad te dicens : “Paenitet me”, dimittes illi”. »
[7] Traduit de la nova vulgata “typique” catholique en (Mathieu 13, 10-11) : « 10 Et accedentes discipuli dixerunt ei: “ Quare in parabolis loqueris eis? ”. 11 Qui respondens ait illis: “ Quia vobis datum est nosse mysteria regni caelorum, illis autem non est datum. »
[8] Cette phrase traduite de l’italien du site vatican.va, a été prononcée le 8 février 2023 lors d’un discours du saint père François aux participants à la convention internationale sur la formation permanente des sacerdoces promue par le dicastère pour le clergé : « … : solo se siamo e rimaniamo discepoli, possiamo diventare ministri di Dio e missionari del suo Regno. » SOURCE : www.vatican.va/content/francesco/it/speeches/2024/february/documents/20240208-formazione-sacerdoti.html
[9] Traduit de la nova vulgata “typique” catholique en (Actes des Apôtres 9, 36) : « In Ioppe autem erat quaedam discipula nomine Tabitha,… »
[10] Traduit de la nova vulgata “typique” catholique en (Luc 14, 26) : « Si quis venit ad me et non odit patrem suum et matrem et uxorem et filios et fratres et sorores, adhuc et animam suam, non potest esse meus discipulus. »
[11] Le kérygme du salut selon le Concile Vatican II se traduit par : « C’est pourquoi l’Eglise aux non croyants annonce le kérygme du salut, afin que tous les humains apprennent à connaitre le seul Dieu vraiment et lequel a mis Jésus Christ et qu’ils soient convertis de leurs voies, agissant la pénitence (Jean 17, 3; Luc 24, 47; Actes 2, 38). Aux croyants vraiment elle doit toujours prêcher la foi et la pénitence, elle doit disposer ceux-ci de plus vers les Sacrements,… » traduit du latin canonique de (Sacrosanctum consilium (Concile Sacrosaint) § 9, 2ème paragraphe) : « Quare Ecclesia non credentibus praeconium salutis annuntiat, ut omnes homines solum Deum verum et quem misit Iesum Christum cognoscant et a viis suis convertantur, paenitentiam agentes (24). Credentibus vero semper fidem et paenitentiam praedicare debet, eos praeterea debet ad Sacramenta disponere,… ».» Source : www.vatican.va/archive/hist_councils/ii_vatican_council/documents/vat-ii_const_19631204_sacrosanctum-concilium_lt.html
La traduction publiée sur le site internet du Vatican écrit quant à elle : « C’est pourquoi l’Église annonce aux non-croyants le Kérygme du salut, pour que tous les hommes connaissent le seul vrai Dieu et celui qu’il a envoyé, Jésus Christ, et pour qu’ils changent de conduite en faisant pénitence [24]. Quant aux croyants, elle doit toujours leur prêcher la foi et la pénitence ; elle doit en outre les disposer aux sacrements,… »